Comment transformer 25 jours de congés payés en 57 jours de repos en 2026 ?
En 2026, bien poser ses congés payés peut transformer une simple quinzaine de jours en véritables vacances prolongées. Grâce à la répartition stratégique des jours fériés et des week-ends, il est tout à fait possible d’optimiser ses 25 jours de congés annuels pour gagner un maximum de temps libre. Découvrez les meilleures périodes et astuces pour savourer 2026 en mode détente prolongée.
Quels sont les jours fériés en 2026 ?
Avant de planifier au mieux vos congés, faisons un rappel des jours fériés prévus en 2026. Voici la liste des dates à garder en tête pour optimiser vos congés payés :
- Jeudi 1er janvier : Jour de l’An.
- Lundi 6 avril : Lundi de Pâques.
- Vendredi 1er mai : Fête du Travail.
- Jeudi 8 mai : Victoire 1945.
- Jeudi 14 mai : Ascension.
- Lundi 25 mai : Lundi de Pentecôte.
- Mardi 14 juillet : Fête nationale.
- Samedi 15 août : Assomption.
- Dimanche 1er novembre : Toussaint.
- Mercredi 11 novembre : Armistice 1918.
- Vendredi 25 décembre : Noël.
Comment bien poser ses congés payés en 2026 ?
Maintenant, nous allons prendre l’exemple d’un salarié qui a 25 jours de congés payés par an, dont le contrat prévoit une semaine de travail du lundi au vendredi. Il ne travaille aucun jour férié. Seule exception ? Son entreprise a choisi le lundi de Pentecôte comme journée de solidarité.
En janvier, le salarié pose son congé le vendredi 2 janvier. Avec le Jour de l’An le jeudi 1er, il bénéficie ainsi d’un grand week-end de 4 jours pour bien commencer l’année. Au printemps, il profite du Lundi de Pâques pour prendre une semaine complète en ne posant que 4 jours de CP (du mardi 7 au vendredi 10 avril. Il bénéficie ainsi de 9 jours de repos (du samedi 4 au dimanche 12 avril). Il va également pleinement profiter de la période des jours fériés de mai. En posant ses congés du lundi 4 au vendredi 15 mai inclus, il s’octroie 17 jours consécutifs de repos (du vendredi 1er au dimanche 17 mai) pour seulement 8 jours de congé posés, grâce à la présence de la Fête du Travail, de la Victoire 1945 et de l’Ascension.
L’été, il choisit de s’absenter du lundi 13 au vendredi 17 juillet, autour de la Fête nationale qui tombe le mardi 14 juillet. Cela lui permet de profiter de 9 jours d’affilée sans travailler, du samedi 11 au dimanche 19 juillet, tout en ne posant que 4 jours de congé. En automne, il prévoit un break au mois de novembre. En posant des congés du lundi 9 au vendredi 13 novembre, il profite de la semaine de l’Armistice (le 11 novembre) pour s’octroyer 9 jours de repos consécutifs, du samedi 7 au dimanche 15 novembre, pour seulement 4 jours de congé pris. Enfin, à Noël, il pose la semaine complète du lundi 21 au jeudi 24 décembre. Avec le vendredi férié de Noël, il enchaîne 9 jours de coupure, du samedi 19 au dimanche 27 décembre, pour 4 jours de congé utilisés.
En tout, en posant ses 25 jours de congés payés, il profite donc de 57 jours de repos en 2026.
Bon à savoir : la pose des congés payés doit être validée au préalable par l’employeur, qui peut en refuser certaines dates selon les nécessités du service.